Le Kenya franchit une étape majeure vers la transformation numérique de la santé avec de nouveaux règlements

Le Kenya franchit une étape majeure vers la transformation numérique de la santé avec de nouveaux règlements

Les règlements proposés visent à mettre en place un cadre solide pour les services de santé numériques, en facilitant l’enregistrement des patients et le suivi des dossiers médicaux.

Les innovations en matière de santé numérique sont sur le point de transformer le paysage sanitaire au Kenya. Ce jour-là, le secrétaire du Cabinet, l’honorable Aden Duale, décoré de l’ordre EGH, a dirigé une discussion importante avec le Comité de l’Assemblée nationale sur la législation déléguée, présidé par le député d’Ainabkoi, l’honorable Samuel Chepkonga, concernant les Règlements sur la santé numérique 2025. La réunion, qui s’est tenue dans un hôtel de Kiambu, était centrée sur les règlements actuellement au stade de la prépublication.

Les règlements proposés visent à établir un cadre solide pour les services de santé numériques, en facilitant l’enregistrement des patients, le suivi des dossiers médicaux et la rationalisation des processus de soins. En mettant en œuvre ces règlements, le Kenya entend accélérer ses progrès dans la résolution des priorités sanitaires, en cohérence avec les grands cadres de développement national tels que Vision 2030 et le programme Bottom-Up Economic Transformation Agenda (BETA), dans lequel la santé constitue une priorité essentielle.

L’honorable Duale a souligné que ces règlements s’inscrivent dans le cadre des efforts plus larges du gouvernement pour améliorer l’accès aux soins de santé, en rendant les services plus abordables, de meilleure qualité, et financièrement durables pour tous les Kenyans. Il a également exprimé sa confiance dans le fait que ces textes contribueraient à lutter contre la fraude dans le secteur de la santé et à s’attaquer au problème croissant des praticiens médicaux non qualifiés.

La réunion a également vu la participation de hauts responsables, notamment le secrétaire principal aux Services médicaux, M. Harry Kimtai, le directeur général par intérim de la Digital Health Agency (DHA), M. Anthony Lenaiyara, l’avocate principale Me Edith Torome, ainsi que d’autres représentants du ministère de la Santé.

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